TELUS dévoile les cinq gagnants du programme #AidonsNosPME
Autre · 28 nov. 2023
(Ci-Dessus) De gauche à droite : Georges Aczam, copropriétaire d’AquaVerti Farms; Ameen Fadel et Surria Fadel, propriétaires de Cedar Valley; Carlyn Loncaric, propriétaire de VodaSafe Inc.; Maya Kotecha, copropriétaire de Hoot Reading; Andrea Gomez, copropriétaire d’Omy Laboratoires.
TELUS dévoile les cinq grands gagnants du programme annuel
#AidonsNosPME
. Ce programme met en valeur des propriétaires d’entreprise novateurs et avant-gardistes, qui mettent l’accent sur la croissance et stimulent l’innovation dans leur domaine. Ce faisant, ils servent leurs clients et leurs collectivités de façon admirable et utilisent la technologie pour amener leur entreprise à croître et à se démarquer.Le 27 septembre, le jury du programme #AidonsNosPME a officiellement annoncé le nom des 20 finalistes choisis parmi les milliers de candidatures reçues. Cinq d’entre eux ont été sélectionnés et recevront le grand prix d’une valeur de plus de 125 000 $, qui comprend 50 000 $ en argent, 50 000 $ en publicité, plus de 25 000 $ en technologie et en services pour clients affaires de TELUS et de ses partenaires, ainsi que du mentorat personnalisé offert par le conseil consultatif de TELUS. Les cinq gagnants ont également récemment pu célébrer leur victoire lors d’un séjour VIP à Vancouver à l’occasion d’un match du club de soccer des Whitecaps de la ville.
« Vu le nombre de candidats de talent qui ont participé à la quatrième édition du programme #AidonsNosPME, il est clair que la fibre entrepreneuriale au pays doit être mise à l’honneur. Félicitations à tous les finalistes, et surtout aux gagnants du grand prix », a déclaré Roi Ross, premier vice-président et président, Petites et moyennes entreprises (PME), TELUS Affaires.
Les gagnants de cette année sont : une équipe mère-fils qui a démarré avec une subvention de 3 000 $ pour créer des aliments d’inspiration libanaise maintenant vendus chez plus de 1 000 détaillants au Canada; des entrepreneurs qui pratiquent la culture hydroponique verticale de légumes et dont la ferme est la première au Canada à avoir éliminé entièrement les émissions de CO2 de sa production; une entreprise sociale qui se consacre à l’alphabétisation des enfants et a offert plus de 250 000 leçons de lecture éprouvées et dispensées par des enseignants qualifiés; une entreprise de dermocosmétiques certifiée B Corp qui mise sur l’IA pour offrir des produits accessibles et personnalisés; et une propriétaire qui a mis au point le premier sonar portatif au monde doté d’IA pour rechercher des personnes dans l’eau.
« Les propriétaires de ces entreprises sont une source d’inspiration en raison de leur vision, de leurs réalisations et de leur détermination à susciter des changements positifs et durables au sein de leurs collectivités. Nous sommes impatients de souligner leur succès et de voir comment ces entreprises continueront de croître, d’innover et de changer la donne au Canada et dans le monde entier », a déclaré M. Ross.
Lisez le profil complet des gagnants ci-dessous.
AquaVerti Farms inc.
Propriétaires: Georges Aczam et Stephen Moss, Montréal, Québec
AquaVerti
se spécialise dans la culture hydroponique de légumes et possède la seule ferme hydroponique verticale avec une capacité de production commerciale au Québec.AquaVerti est la première ferme maraîchère du Canada à avoir éliminé entièrement les émissions de CO2 de sa production. L’entreprise a ainsi économisé 500 000 000 de litres d’eau depuis 2017, ce qui la distingue des fermes traditionnelles. Les produits d’AquaVerti restent frais pendant plus de quatre semaines après la récolte, contrairement aux produits standards dont la fraîcheur ne dure que de 7 à 10 jours. L’entreprise produit ainsi quatre fois moins de déchets alimentaires que ses concurrents.
Grâce aux appareils IdO (Internet des objets) et à deux robots nommés Bertha et Mathieu, l’entreprise est parvenue à intégrer la technologie à toute la ferme. Ainsi, il est possible de contrôler tous les aspects de la production et de rassembler des données depuis plus de 30 sources qui sont analysées et optimisées.
Cedar Valley
Propriétaires: Ameen et Surria Fadel, Oldcastle, Ontario
Un duo mère-fils a créé l’entreprise
Cedar Valley
, qui offre une gamme de produits alimentaires comprenant des vinaigrettes et d’authentiques croustilles de pita libanaises.Après avoir démarré leur entreprise avec une subvention de 3 000 $, ils ont ouvert en quelques années seulement une usine de fabrication de 5 000 pieds carrés. Aujourd’hui, on trouve leurs produits dans plus de 1 000 points de vente.
L’entreprise Cedar Valley est fière de son caractère novateur, de son utilisation de la technologie et de ses normes strictes en ce qui concerne les ingrédients qui servent à préparer les produits. Elle utilise des produits entièrement naturels et sans OGM et uniquement des huiles qui ne proviennent pas de graines pour la friture des croustilles, ce qui donne une texture unique et une saveur distinctive sur le marché américain. Cedar Valley améliore de manière continue ses machines de fabrication en faisant appel à des fournisseurs canadiens pour automatiser ses processus, intégrer des logiciels et améliorer l’efficacité. Elle a ainsi embauché des membres de la collectivité par l’intermédiaire des centres Unemployed Help Centre et New Canadians Centre for Excellence.
Hoot Reading
Propriétaires: Maya Kotecha et Carly Shuler, Winnipeg, Manitoba
Propriétaires: Maya Kotecha et Carly Shuler, Winnipeg, Manitoba
Hoot Reading
améliore la vie des jeunes par la littératie. Depuis 2018, cette entreprise sociale de Winnipeg a fourni plus de 250 000 leçons de lecture éprouvées par des enseignants qualifiés. Son équipe compte désormais 50 employés à temps plein.L’approche de Hoot Reading repose sur des fonctions brevetées pour faciliter la participation, l’enseignement et le suivi, le tout dans une application qui enrichit l’expérience de tutorat pour chaque élève. L’application compte aussi des outils de suivi qui rassemblent des données importantes sur l’alphabétisation à l’intention des districts scolaires et des organismes de bienfaisance. Ainsi, l’entreprise s’assure que les futurs investissements en alphabétisation sont pertinents, rentables et équitables.
Omy Laboratoires
Propriétaires: Rachelle Séguin et Andrea Gomez, Québec, Québec
Omy Laboratoires
est une entreprise de dermocosmétiques certifiée B Corp qui propose des produits accessibles et personnalisés pour répondre aux besoins des personnes négligées par l’industrie cosmétique. L’entreprise a connu une croissance considérable au cours des quatre dernières années. Elle emploie maintenant plus de 30 personnes. Les fondatrices visent désormais une expansion internationale tout en lançant de nouvelles gammes de produits.Omy Laboratoires se différencie des autres entreprises de cosmétique grâce à son utilisation de la technologie. Elle emploie un logiciel d’intelligence artificielle breveté appelé SkinIA pour analyser la proportion de rides, de taches et de rougeurs et l’état des pores de la peau pour sa clientèle en ligne. Ces données permettent de déterminer les besoins précis de chaque personne en matière de dermocosmétique et de créer des formules personnalisées.
VodaSafe Inc.
Propriétaire: Carlyn Loncaric, Vancouver, Colombie-Britannique
VodaSafe Inc.
fabrique un sonar portable appelé AquaEye qui utilise l’IA pour localiser rapidement les personnes sous l’eau. Elle révolutionne ainsi le travail des sauveteurs.Ce dispositif, qui est très simple à utiliser, s’apparente à un pistolet radar. Il peut balayer une étendue d’eau de la grandeur d’un terrain de football et localiser avec précision tout nageur en moins de deux minutes. Actuellement, le marché d’AquaEye vise les maîtres nageurs, les services d’incendie, les forces de l’ordre et les équipes de recherche et de sauvetage de partout en Amérique du Nord.
AquaEye révolutionne le travail des sauveteurs en réduisant les heures ou les jours de recherche à quelques minutes. Dans la plupart des circonstances, le temps de recherche à l’aide d’AquaEye est réduit d’au moins 85 pour cent.
Cet article a été publié initialement dans le
Globe and Mail
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